Stranger than Paradise : le charme discret des cassetophones et des rues désolées
Jim Jarmusch, c’est un réalisateur que l’on admire… Ou dont l’on rit gentiment, comme lorsqu’il nous gratifie de films tels que The Limits of Control, dont l’abstraction absconse, faite d’espressi, de boîtes d’allumettes et de discussions laconiques avec une Paz de la Huerta nue dans sa chambre d’hôtel, semblent seContinue Reading